Marché d’études 2015
Réseaux sociaux numériques et bibliothèques

La Bibliothèque publique d’information (Bpi), en lien avec le Service du livre et de la lecture (SLL) du ministère de la Culture et de la Communication (Direction générale des médias et des industries culturelles), a lancé, fin 2015,  une étude consacrée à l’analyse de la présence des bibliothèques publiques sur les réseaux sociaux numériques. La Bibliothèque publique d’information (Bpi), en lien avec le Service du livre et de la lecture (SLL) du ministère de la Culture et de la Communication (Direction générale des médias et des industries culturelles), a lancé, fin 2015,  une étude consacrée à l’analyse de la présence des bibliothèques publiques sur les réseaux sociaux numériques.

Cette étude est confiée à un groupement constitué du Laboratoire des Sciences de l’information et de la communication dirigé par Bertrand Legendre à l’université Paris 13 (LabSIC), avec la collaboration de Louis Wiart en particulier, et de la société de conseil Axiales, regroupant des spécialistes de la chaîne du livre, avec la collaboration en particulier de Marie-Françoise Audouard et Mathilde Rimaud.Cette étude est confiée à un groupement constitué du Laboratoire des Sciences de l’information et de la communication dirigé par Bertrand Legendre à l’université Paris 13 (LabSIC), avec la collaboration de Louis Wiart en particulier, et de la société de conseil Axiales, regroupant des spécialistes de la chaîne du livre, avec la collaboration en particulier de Marie-Françoise Audouard et Mathilde Rimaud.

  

L’étude qualitative portera sur quatre terrains :L’étude qualitative portera sur quatre terrains :

  • Médiathèque Louise Michel (réseau des bibliothèques Ville de Paris)
  • Médiathèque de Quimperlé
  • Réseau des bibliothèques de Brest
  • Réseau des bibliothèques de Metz

 

RSNRSN

 

Contexte et objectifs de l’étude 
À l’image de nombreuses institutions culturelles, les bibliothèques s’efforcent de plus en plus aujourd’hui d’investir le champ des réseaux sociaux numériques (RSN)1. Il est question pour elles d’utiliser ce canal pour étendre leurs entreprises de médiation culturelle ou simplement pour faire en sorte d’augmenter la visibilité de leurs établissements, de leurs collections, leurs services ou encore de leurs personnels. L’enjeu est de taille à une époque où les institutions culturelles traditionnelles peuvent parfois sembler en perte de vitesse en matière de fréquentation et alors que se développe sur les RSN un champ d’expérimentation et d’interaction prolifique et massivement utilisé par une partie de la jeunesse. Certains établissements sont aujourd’hui très engagés dans cette voie au point d’avoir dédié des profils de poste à l’animation des réseaux sociaux numériques et des communautés en ligne (« community managers ») ; d’autres avancent de façon plus mesurée en laissant parfois l’initiative à certains de leurs agents qui s’investissent en leur nom propre au sein des RSN.Contexte et objectifs de l’étude 
À l’image de nombreuses institutions culturelles, les bibliothèques s’efforcent de plus en plus aujourd’hui d’investir le champ des réseaux sociaux numériques (RSN)1. Il est question pour elles d’utiliser ce canal pour étendre leurs entreprises de médiation culturelle ou simplement pour faire en sorte d’augmenter la visibilité de leurs établissements, de leurs collections, leurs services ou encore de leurs personnels. L’enjeu est de taille à une époque où les institutions culturelles traditionnelles peuvent parfois sembler en perte de vitesse en matière de fréquentation et alors que se développe sur les RSN un champ d’expérimentation et d’interaction prolifique et massivement utilisé par une partie de la jeunesse. Certains établissements sont aujourd’hui très engagés dans cette voie au point d’avoir dédié des profils de poste à l’animation des réseaux sociaux numériques et des communautés en ligne (« community managers ») ; d’autres avancent de façon plus mesurée en laissant parfois l’initiative à certains de leurs agents qui s’investissent en leur nom propre au sein des RSN.

L’investissement des RSN par les bibliothèques publiques fait preuve d’une grande hétérogénéité. Ce terrain est radicalement nouveau, les établissements n’ont pas beaucoup de recul et l’expérience qu’ils ont des circuits traditionnels de diffusion culturelle et de communication institutionnelle n’est pas nécessairement transférable. Des questions se posent par ailleurs sur les projets mêmes des établissements en direction des RSN, sur la nature des activités qui y sont réalisées ou tentées et enfin sur la consistance et la pertinence des indicateurs qui permettent de suivre l’activité dans ce domaine. L’étude envisagée a par conséquent une dimension appliquée (analyse et interprétation des interactions engagées par les bibliothèques à travers les RSN) et une dimension méthodologique (réflexion critique sur les outils d’analyse convoqués et sur les instruments d’évaluation significatifs).L’investissement des RSN par les bibliothèques publiques fait preuve d’une grande hétérogénéité. Ce terrain est radicalement nouveau, les établissements n’ont pas beaucoup de recul et l’expérience qu’ils ont des circuits traditionnels de diffusion culturelle et de communication institutionnelle n’est pas nécessairement transférable. Des questions se posent par ailleurs sur les projets mêmes des établissements en direction des RSN, sur la nature des activités qui y sont réalisées ou tentées et enfin sur la consistance et la pertinence des indicateurs qui permettent de suivre l’activité dans ce domaine. L’étude envisagée a par conséquent une dimension appliquée (analyse et interprétation des interactions engagées par les bibliothèques à travers les RSN) et une dimension méthodologique (réflexion critique sur les outils d’analyse convoqués et sur les instruments d’évaluation significatifs).

Présentation de la méthodologie d’étude
• 6e journée interprofessionnelle du livre en Nouvelle-Aquitaine : « Fidéliser et attirer les clients et les usagers : le lecteur au cœur des stratégies de fidélisation des professionnels du livre ».  Vendredi 4 novembre 2016, de 9 h à 17h : programme complet.Présentation de la méthodologie d’étude
• 6e journée interprofessionnelle du livre en Nouvelle-Aquitaine : « Fidéliser et attirer les clients et les usagers : le lecteur au cœur des stratégies de fidélisation des professionnels du livre ».  Vendredi 4 novembre 2016, de 9 h à 17h : programme complet.

 

Publié le 15/05/2015

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