Envoyer 'Liberté de programmation en bibliothèque : la réflexion menée aux Champs Libres' à un ami
par Malik Diallo, directeur des bibliothèques de Rennes
Envoyer une copie de 'Liberté de programmation en bibliothèque : la réflexion menée aux Champs Libres' à un ami

Le sujet est intéressant mais aborde surtout l’autocensure et le travail en interne pour l’organisation des évènements. Mais la question de la censure par les élus (ou par les directions – par crainte de retours négatifs d’élus) n’est pas traitée. Que faire quand le Maire ou un élu refuse que la bibliothèque traite de certains sujets ou qu’elle invite certains intervenants pour des raisons politiques?
L’article 5 de la loi Robert protège (en théorie) de la censure ou de l’intervention des élus dans les collections, mais la question des animations n’est pas abordée.
La cadre légal dont on parle ici (la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, la loi sur la liberté de la presse, la loi sur la liberté de création, la liberté académique) est très éloigné des situations vécues dans les bibliothèques.
Si certain.e.s ont des pistes, n’hésitez pas…
Bonjour,
merci pour votre intéressant commentaire. Vous avez raison, l’article aborde plutôt la mise en place d’un cadre de travail interne. Dans les réponses pouvant être apportées aux élus, les chartes d’action culturelle, votées au même titre que les chartes de politiques documentaires, peuvent constituer une piste. Nous préparons un article pour mettre en ligne des chartes à titre d’exemple. Si des collègues souhaitent nous envoyer la leur, qu’ils/elles n’hésitent pas (cooperation.partage@bpi.fr) !
Bien à vous,
Le service coopération de la Bpi