« Les enjeux culturels des moteurs de recherche », interview de Francis Châteauraynaud, Bulletin Bpi, n°10, août – septembre – octobre 2004, p. 17. Agnès Camus-Vigué, 2004
Texte de l’articleTexte de l’article
La Bpi a inauguré son nouvel espace de débats en ligne avec un premier thème de discussion, les enjeux culturels des moteurs de recherche1 qui abordait les questions suivantes :les enjeux culturels des moteurs de recherche1 qui abordait les questions suivantes :
De quelle façon fonctionnent les moteurs de recherche et, spécifiquement, Google ?
Quelles sont les dérives et les effets pervers éventuels de ces outils ?
Le recours aux moteurs produit-il des usages spécifiques en terme de documentation, d’apprentissage et de recherche ?
Ce débat virtuel prolongeait un Rendez-vous de l’édition qui s’est tenu le 29 avril dernier au Centre Pompidou, avec la participation des sociologues Françis Chateauraynaud et Eric Guichard, de Laurent Chemla, auteur de Confessions d’un voleur, de Martin Dacos, chargé de recherche au CNRS, et de Françoise Gaudet (Bpi). IL était modéré par Agnès Camus-Vigué, sociologue à la Bpi, qui poursuit ici avec Francis Chateauraynaud la discussion engagée.
Agnès Camus-Vigué : Comment vous êtes vous intéressé à ces outils de repérage de l’information que sont les moteurs de recherche ? Francis Chateauraynaud : J’ai pu suivre très directement la manière dont les systèmes d’information ont modifié le traitement public de dossiers comme ceux du nucléaire, de l’amiante, des OGM, ou de la vache folle… Dans les années 1990, l’essentiel de notre documentation était construit au fil d’interventions sur le terrain. On allait chercher un rapport, on photocopiait des documents, on faisait beaucoup d’entretiens. Aujourd’hui, le réflexe est d’aller d’abord voir ce qu’il y a sur le Net. On y est confronté à une prolifération de sources qui obéissent peu ou prou aux mêmes formats, du fait d’un alignement progressif sur le modèle du moteur de recherche dominant, Google. La Façon dont se hiérarchisent les pages à partir d’une recherche sur Google configure notre espace cognitif en nous poussant à rompre avec une accumulation plus lente, par des contacts sur le terrain, des recherches bibliographiques, etc. Certes, il y a une pluralité de sources, mais on est vite captif de solutions livrées clé en main. La masse documentaire accessible étant très supérieure à ce que peuvent traiter raisonnablement des interprètes humains, il est rare que l’on examine des pages mal classées. La toile documentaire pose la question du type de représentation sociologique et cognitive de nos informations. Ce que nous appelons « information » est pris dans des configurations argumentatives. Pour les auteurs de sites, il s’agit de convaincre, d’insister sur tel argument ou tel événement plutôt que sur tel autre, et de mettre en valeur un certain type de représentations, de catégories et de liens.
A. C.-V : La question de l’information et de la connaissance engage celle du rapport au temps. Le recours aux moteurs et plus généralement à l’Internet n’offre-t-il pas une autre distribution de l’espace et du temps ? F. C : Une question importante, qui avait émergé dans la discussion du 29 mars, est celle de l’histoire, au double sens du mot histoire : à la fois comme archive – l’histoire comme série de traces du passé -, mais aussi histoire en train de se faire. Comment les processus de transformation, qu’on suppose liés à l’idée d’une histoire en marche –« il se passe quelque chose » – sont-ils représentés ? Dès qu’on se réfère à une culture historique, par exemple au sujet d’événements marquants comme la montée du fascisme dans les années 1930, la Seconde Guerre mondiale, les changements successifs intervenus dans les années 1970, les années 1980, etc., la manière dont les moteurs de recherche organisent l’information pose problème. Car les moteurs ignorent l’histoire, ou plutôt la rendent toujours plus compacte dans une quête de mise à jour permanente. En outre, sur l’Internet, l’histoire commence vers 1996. Tout ce qui est antérieur est antidaté puisque cela a été numérisé ou mis en ligne après coup. Comment appréhender les transformations subies par les documents ? Leur accessibilité immédiate doit interroger les historiens, les juristes, les sociologues, et tous ceux qui exercent une critique des sources et de leurs usages.
A.C.-V : Il y a une perte de repères. F. C : L’organisation des savoirs en réseaux tend à effacer les processus par lesquels les choses sont construites, éprouvées, discutées, rendues publiques. Une fois qu’elles sont publiques, on ne sait plus comment elles l’ont été. Par exemple, il y a des sites entiers sur des catastrophes. Quand on y accède, c’est déjà public. Auparavant les processus était plus tangible : un document circulait ; peu de personnes l’avaient lu et il passait souvent de la main à la main ; il y avait une première série de rencontres autour de ce document, puis éventuellement des reprises médiatiques ou des actions collectives, comme des pétitions ou des tracts. Mais il n’y avait pas de point de passage obligé, comme dans le cas des pétitions électroniques. Le processus décrivait son propre espace-temps, ce qui permettait de comprendre les moments d’incertitude, qe qui avait été écarté, repris, discuté. Bref on saisissait les étapes du passage au « public ». Désormais, cela demande un énorme travail de recoupement pour restituer, par exemple, comment ont été mises en place sur le Net les informations autour de la catastrophe d’AZF. L’accès quasi immédiat aux informations gomme les ressorts cognitifs nécessaires à la compréhension des processus historiques. Il faut donc recréer des espaces critiques et se doter d’outils capables d’organiser autrement des informations, en doublant les moteurs de recherche par des dispositifs plus réflexifs. Sans quoi nos forma de pensée seront bien vite réduites à des chaînes de mots-clés, d’icônes ou de liens, sur lesquelles des entités assez peu désintéressées ont déjà un maximum de prise. Je crois qu’un des enjeux des multiples démarches administratives a&ujourd’hui est de soumettre l’Internet à la critique historique.
1 Sur le site http://debatvirtuel.bpi.fr créé en partenariat avec la société GiantChair.
Agnès Camus-Vigué : Comment vous êtes vous intéressé à ces outils de repérage de l’information que sont les moteurs de recherche ? Francis Chateauraynaud : J’ai pu suivre très directement la manière dont les systèmes d’information ont modifié le traitement public de dossiers comme ceux du nucléaire, de l’amiante, des OGM, ou de la vache folle… Dans les années 1990, l’essentiel de notre documentation était construit au fil d’interventions sur le terrain. On allait chercher un rapport, on photocopiait des documents, on faisait beaucoup d’entretiens. Aujourd’hui, le réflexe est d’aller d’abord voir ce qu’il y a sur le Net. On y est confronté à une prolifération de sources qui obéissent peu ou prou aux mêmes formats, du fait d’un alignement progressif sur le modèle du moteur de recherche dominant, Google. La Façon dont se hiérarchisent les pages à partir d’une recherche sur Google configure notre espace cognitif en nous poussant à rompre avec une accumulation plus lente, par des contacts sur le terrain, des recherches bibliographiques, etc. Certes, il y a une pluralité de sources, mais on est vite captif de solutions livrées clé en main. La masse documentaire accessible étant très supérieure à ce que peuvent traiter raisonnablement des interprètes humains, il est rare que l’on examine des pages mal classées. La toile documentaire pose la question du type de représentation sociologique et cognitive de nos informations. Ce que nous appelons « information » est pris dans des configurations argumentatives. Pour les auteurs de sites, il s’agit de convaincre, d’insister sur tel argument ou tel événement plutôt que sur tel autre, et de mettre en valeur un certain type de représentations, de catégories et de liens.
A. C.-V : La question de l’information et de la connaissance engage celle du rapport au temps. Le recours aux moteurs et plus généralement à l’Internet n’offre-t-il pas une autre distribution de l’espace et du temps ? F. C : Une question importante, qui avait émergé dans la discussion du 29 mars, est celle de l’histoire, au double sens du mot histoire : à la fois comme archive – l’histoire comme série de traces du passé -, mais aussi histoire en train de se faire. Comment les processus de transformation, qu’on suppose liés à l’idée d’une histoire en marche –« il se passe quelque chose » – sont-ils représentés ? Dès qu’on se réfère à une culture historique, par exemple au sujet d’événements marquants comme la montée du fascisme dans les années 1930, la Seconde Guerre mondiale, les changements successifs intervenus dans les années 1970, les années 1980, etc., la manière dont les moteurs de recherche organisent l’information pose problème. Car les moteurs ignorent l’histoire, ou plutôt la rendent toujours plus compacte dans une quête de mise à jour permanente. En outre, sur l’Internet, l’histoire commence vers 1996. Tout ce qui est antérieur est antidaté puisque cela a été numérisé ou mis en ligne après coup. Comment appréhender les transformations subies par les documents ? Leur accessibilité immédiate doit interroger les historiens, les juristes, les sociologues, et tous ceux qui exercent une critique des sources et de leurs usages.
A.C.-V : Il y a une perte de repères. F. C : L’organisation des savoirs en réseaux tend à effacer les processus par lesquels les choses sont construites, éprouvées, discutées, rendues publiques. Une fois qu’elles sont publiques, on ne sait plus comment elles l’ont été. Par exemple, il y a des sites entiers sur des catastrophes. Quand on y accède, c’est déjà public. Auparavant les processus était plus tangible : un document circulait ; peu de personnes l’avaient lu et il passait souvent de la main à la main ; il y avait une première série de rencontres autour de ce document, puis éventuellement des reprises médiatiques ou des actions collectives, comme des pétitions ou des tracts. Mais il n’y avait pas de point de passage obligé, comme dans le cas des pétitions électroniques. Le processus décrivait son propre espace-temps, ce qui permettait de comprendre les moments d’incertitude, qe qui avait été écarté, repris, discuté. Bref on saisissait les étapes du passage au « public ». Désormais, cela demande un énorme travail de recoupement pour restituer, par exemple, comment ont été mises en place sur le Net les informations autour de la catastrophe d’AZF. L’accès quasi immédiat aux informations gomme les ressorts cognitifs nécessaires à la compréhension des processus historiques. Il faut donc recréer des espaces critiques et se doter d’outils capables d’organiser autrement des informations, en doublant les moteurs de recherche par des dispositifs plus réflexifs. Sans quoi nos forma de pensée seront bien vite réduites à des chaînes de mots-clés, d’icônes ou de liens, sur lesquelles des entités assez peu désintéressées ont déjà un maximum de prise. Je crois qu’un des enjeux des multiples démarches administratives a&ujourd’hui est de soumettre l’Internet à la critique historique.
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