Enquête de fréquentation 2009 (synthèse) Christophe Evans, Agnès Camus-Vigué, 2010
« Le jeu des cartes sociales à la Bpi », article paru dans De ligne en ligne, n°2, avril – septembre 2010.
Synthèse de l’enquête de fréquentation 2009
La partie qui se joue dans une bibliothèque ne dépend pas que des contenus initialement prévus par l’institution : le public apporte ses propres cartes, et le jeu se construit avec elles…
Fiche technique de l’enquête : – Dates : du 16 au 22 novembre 2009 – Prestataire : société Kynos – 786 personnes interrogées en face à face – Les personnes interrogées étaient sontactées de manière aléatoire alors qu’elles quittaient définitivement la bibliothèque – L’enquête prédédente sur les publics daitait de 2003Fiche technique de l’enquête : – Dates : du 16 au 22 novembre 2009 – Prestataire : société Kynos – 786 personnes interrogées en face à face – Les personnes interrogées étaient sontactées de manière aléatoire alors qu’elles quittaient définitivement la bibliothèque – L’enquête prédédente sur les publics daitait de 2003
Situation : – au coeur de Paris – dans un vaste centre culturel dédié à l’art contemporainSituation : – au coeur de Paris – dans un vaste centre culturel dédié à l’art contemporain
Ouverture : – 6 jours sur 7 – jusqu’à 22 heuresOuverture : – 6 jours sur 7 – jusqu’à 22 heures
Offre : -2000 places assises -collection encyclopédique -ressources numériques en grand nombre -nombreux servicesOffre : -2000 places assises -collection encyclopédique -ressources numériques en grand nombre -nombreux services
Telle est la donne à la Bpi. Ceci posé, comment s’y organise la jeu de la fréquentation? Quelles en sont les règles ? Les enquêtes de public donnent des réponses concrètes à ces questions.Telle est la donne à la Bpi. Ceci posé, comment s’y organise la jeu de la fréquentation? Quelles en sont les règles ? Les enquêtes de public donnent des réponses concrètes à ces questions.
Des tendances de fond Première observation, tirée du sondage réalisé en novembre 2009 : on croise autant d’hommes que de femmes parmis les 5000 personnes (en moyenne) qui fréquentent quotidiennement la Bpi. Les autres données sont moins équilibrées : 65% d’étudiants (la grande majorité du public) pour 18% d’actifs occupés, 8% de personnes en recherche d’emploi, 5% de retraités, 3% de scolaires et 2% d’autres inactifs.Des tendances de fond Première observation, tirée du sondage réalisé en novembre 2009 : on croise autant d’hommes que de femmes parmis les 5000 personnes (en moyenne) qui fréquentent quotidiennement la Bpi. Les autres données sont moins équilibrées : 65% d’étudiants (la grande majorité du public) pour 18% d’actifs occupés, 8% de personnes en recherche d’emploi, 5% de retraités, 3% de scolaires et 2% d’autres inactifs.
Autres tendances de fond : les diplômés de l’enseignement supérieur sont massivement majoritaires (89%), et 96% des personnes interrogées déclarent résider à Paris (41,5%) ou dans la banlieue (54,5%). Ainsi, bien que la Bpi soit largement ouverte à tous, le niveau d’études et la proximité géographique déterminent largement l’éventail social de ses publics. Ainsi, bien que la Bpi soit largement ouverte à tous, le niveau d’études et la proximité géographique déterminent largement l’éventail social de ses publics.
Exceptions à la règles : les tendances minoritaires 9% des usagers ont un niveau inférieur au Bac % ont plus de 65 ans 9% des usagers ont un niveau inférieur au Bac % ont plus de 65 ans
Autosuffisant? Six usagers sur dix déclarent se rendre au moins une fois par semaine dans la bibliothèque et 17% y viennent tous les jours ou presque. Un des motifs principaux de visite consiste à venir travailler sur ses propres documents (56% des personnes interrogées), en ayant recours parfois à son propre matériel informatique (27% des personnes interrogées et un tiers d’étudiants). Cela sous-entend une certaine forme d’autosuffisance : seuls 25% des publics viennent pour chercher un document dont ils ont la référence et 30% pour trouver une information sur un sujet déterminé. Et pourtant, au bout du compte, près de 60% des personnes consultent des livres au cours de leur visite.Autosuffisant? Six usagers sur dix déclarent se rendre au moins une fois par semaine dans la bibliothèque et 17% y viennent tous les jours ou presque. Un des motifs principaux de visite consiste à venir travailler sur ses propres documents (56% des personnes interrogées), en ayant recours parfois à son propre matériel informatique (27% des personnes interrogées et un tiers d’étudiants). Cela sous-entend une certaine forme d’autosuffisance : seuls 25% des publics viennent pour chercher un document dont ils ont la référence et 30% pour trouver une information sur un sujet déterminé. Et pourtant, au bout du compte, près de 60% des personnes consultent des livres au cours de leur visite.
Ici c’est donc la bibliothèque comme espace collectif qui favorise la réflexion
Sont venus pour…
trouver un document précis
trouver une information
travailler sur leurs propres documents
Scolaires
8%
17%
61%
Etudiants
17%
20%
46%
Actifs occupés
18%
20%
22%
Recherche d' »ambiance » Depuis 2003, l’usage des collections est en léger recul à la Bpi, sans être compensé par le développement des consultations sur ordinateur de ressources électroniques. L’interrogation du catalogue informatisé sur place est passée de 40% en 2003à 22% en 2009, et la demande de rensegnements au personnel des bureaux d’accueil de 29% à 24% sur la même période. Ces changements reflètent un nouveau mode d’appropriation des grands établissements de lecture publique : près d’un quart des personnes interrogées en 2009 déclarent venir pour « l’ambiance », c’est-à-dire pour l’atmosphère studieuse régnant dans les espaces.Recherche d' »ambiance » Depuis 2003, l’usage des collections est en léger recul à la Bpi, sans être compensé par le développement des consultations sur ordinateur de ressources électroniques. L’interrogation du catalogue informatisé sur place est passée de 40% en 2003à 22% en 2009, et la demande de rensegnements au personnel des bureaux d’accueil de 29% à 24% sur la même période. Ces changements reflètent un nouveau mode d’appropriation des grands établissements de lecture publique : près d’un quart des personnes interrogées en 2009 déclarent venir pour « l’ambiance », c’est-à-dire pour l’atmosphère studieuse régnant dans les espaces.
La partie qui se joue dans une bibliothèque ne dépend donc pas que des contenus initialement prévus par l’institution : le public apporte ses propres cartes, et le jeu se construit avec elles.
Diversité des pratiques Aujourd’hui, plus d’un usager sur quatre vient à la bibliothèque avec son ordinateur portable. Pour les uns, l’ordinateur est avant tout une mémoire : « Je stacke une mémoire à l’intérieur d’une autre mémoire vistuelle, c’est fantastique ». Luis, 50 ans, réalisateur de films, n’imagine plus travailler sans cet outil : « Avant… c’était papier/crayon. Et pour faire une recherche historique, on écrivait une vingtaine de pages… après on tapait à la machine… aujourd’hui nous avons la première version de ce qu’on travaillle, et on peut changer ». Si LUis considère que l’ordianteur a changé son mode de travail, sa méthode reste relativement classique : information traitée sur place puis synthétiqée dans un lieu privé, propice à la concentration. Pour d’autres, souvent plus jeunes, ce schéma peut être bouleversé. Ainsi, des lycéens ont mis au point une méthode de travail originale. Après avoir scanné chez eux des chapitres de leurs manuels scolaires, ils se retrouvent à la bibliothèque pour échanger des fichiers et faire ensemble des exercices. Ici, c’est donc la bibliothèque comme espace collectif qui favorisent la synthèse et l’exercice de la réflexion : « Un jour, nous dit Yacine, je suis rentré et j’ai vu qu’il y avait une bonne ambiance de travail… Le travail que j’ai produit ici, je ne pouvais pas le faire chez moi ». Pou ce jeune lycéen venu d’un quartier porpulaire de banlieue, la Bpi devient une communauté de référence, un pôle identitaire à partir duquel il peut s’engager dans un travail d’acquisition de connaissances. Cette diversité de pratiques se retrouve dans les usages du réseau Wifi. Si les lecteurs apprécient la service, ils s’imposent eux-mêmes des contraintes : « pas très longtemps », « juste pour consulter mes mails », « je n’écoute pas de musique »>. Sans doute liées à leurs perception des normes de conduite en bibliothèque, ces contraintes tiennent aussi au désir de s’extraire des sollicitations continuelles véhiculées par le réseau. Ainsi, Bernard, 48 ans, consultant, affirme : « je ne viens pas ici pour utiliser le Wifi, c’est un outil en plus… Je viens parce que ce n’est pas loin de chez moi et que c’est un environnement de travail ».Diversité des pratiques Aujourd’hui, plus d’un usager sur quatre vient à la bibliothèque avec son ordinateur portable. Pour les uns, l’ordinateur est avant tout une mémoire : « Je stacke une mémoire à l’intérieur d’une autre mémoire vistuelle, c’est fantastique ». Luis, 50 ans, réalisateur de films, n’imagine plus travailler sans cet outil : « Avant… c’était papier/crayon. Et pour faire une recherche historique, on écrivait une vingtaine de pages… après on tapait à la machine… aujourd’hui nous avons la première version de ce qu’on travaillle, et on peut changer ». Si LUis considère que l’ordianteur a changé son mode de travail, sa méthode reste relativement classique : information traitée sur place puis synthétiqée dans un lieu privé, propice à la concentration. Pour d’autres, souvent plus jeunes, ce schéma peut être bouleversé. Ainsi, des lycéens ont mis au point une méthode de travail originale. Après avoir scanné chez eux des chapitres de leurs manuels scolaires, ils se retrouvent à la bibliothèque pour échanger des fichiers et faire ensemble des exercices. Ici, c’est donc la bibliothèque comme espace collectif qui favorisent la synthèse et l’exercice de la réflexion : « Un jour, nous dit Yacine, je suis rentré et j’ai vu qu’il y avait une bonne ambiance de travail… Le travail que j’ai produit ici, je ne pouvais pas le faire chez moi ». Pou ce jeune lycéen venu d’un quartier porpulaire de banlieue, la Bpi devient une communauté de référence, un pôle identitaire à partir duquel il peut s’engager dans un travail d’acquisition de connaissances. Cette diversité de pratiques se retrouve dans les usages du réseau Wifi. Si les lecteurs apprécient la service, ils s’imposent eux-mêmes des contraintes : « pas très longtemps », « juste pour consulter mes mails », « je n’écoute pas de musique »>. Sans doute liées à leurs perception des normes de conduite en bibliothèque, ces contraintes tiennent aussi au désir de s’extraire des sollicitations continuelles véhiculées par le réseau. Ainsi, Bernard, 48 ans, consultant, affirme : « je ne viens pas ici pour utiliser le Wifi, c’est un outil en plus… Je viens parce que ce n’est pas loin de chez moi et que c’est un environnement de travail ».
La bibliothèque représenterait-elle l’espace de concentration, rare dans notre monde contemporain, dans lequel les usages on-line sont volontairement limités ?on-line sont volontairement limités ?
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