Édouard Louis ou la transformation de François Caillat
Sortie en salles le mercredi 29 novembre 2023.
Présenté en séance spéciale au festival Cinéma du réel le 16 mars 2022, Édouard Louis ou la transformationdresse le portrait du jeune écrivain né en 1992 dans le milieu sous-prolétaire d’un village de Picardie (Hallencourt) et devenu, en une dizaine d’ouvrages publiés entre 2013 et 2021, une célébrité dans les médias, un intervenant dans des colloques d’universités prestigieuses en France et dans le monde, l’interprète d’une génération. La métamorphose, la transformation et la réinvention de soi ne constituent pas pour Édouard Louis une phase unique dans une vie mais bien un mode d’existence continu.
François Caillat / Édouard Louis : une rencontre qui s’inscrit dans le temps
Ce n’est pas la première fois que François Caillat et Édouard Louis sont réunis pour un projet. Ils se sont rencontrés en 2012. À l’époque, Caillat préparait Foucault contre lui-même diffusé au printemps 2014 sur Arte. Il prit comme conseiller scientifique pour son film un jeune homme d’une vingtaine d’années qu’on lui avait recommandé, Eddy Bellegueule, étudiant de l’École Normale Supérieure, rue d’Ulm à Paris. Caillat fut ébloui par la maturité et l’acuité de la pensée d’Eddy. Chemin faisant, des compagnons de route intellectuelle de premier plan du normalien (Didier Eribon, Geoffroy de Lagasnerie, Arlette Farge, Georges Didi-Huberman) se sont agrégés au travail. Concomitamment Eddy (qui changera de nom et deviendra Édouard Louis en 2013) est plongé dans la rédaction de son premier livre En Finir avec Eddy Bellegueule où il raconte son enfance marquée par « deux verdicts sociaux : un verdict de classe et un verdict sexuel » (Didier Eribon inRetour à Reims). Cet ouvrage, récit d’un transfuge de classe et de lieu, rencontra un succès critique et public exceptionnel en France et dans le monde en étant traduit très vite dans plus de vingt langues. Caillat a donc rencontré Édouard Louis avant la célébrité. Une relation de confiance s’est tissée, s’est construite au fil du temps. En conversant avec l’écrivain, Caillat a l’intuition qu’un lieu, Amiens, est décisif dans la transformation de l’enfant et pré-adolescent issu d’un milieu populaire très pauvre (où se mêlent sentiment d’exclusion, solidarité sociale, homophobie, machisme et xénophobie) victime de harcèlement scolaire homophobe (avec violence et intimidation soit victime de « bullying », de brimades) en un intellectuel médiatique, figure de la gauche radicale.
« Il y avait là, entre le village d’Hallencourt et l’arrivée à Paris, une période charnière qui semblait cruciale. Mais il n’en écrivait rien dans ses textes et s’y référait rarement dans ses interviews. Il se contentait de citer cette étape à Amiens sans entrer dans le détail. » (François Caillat)
Changer : méthode et Édouard Louis ou la transformation
Il se trouve qu’Édouard Louis a publié Changer : méthode en septembre 2021, soit six mois avant la projection en première mondiale du film de Caillat en séance spéciale à Cinéma du Réel, le 16 mars 2022. Dans Changer : méthode, dernier opus autobiographique édité à ce jour, Édouard Louis raconte la vie, les expériences, les rencontres amiénoises ainsi que celle avec Didier Eribon, déterminante dans son parcours de transfuge de classe et de lieu et d’homosexuel. Dans ce dernier récit publié sont narrées et analysées la vie au lycée puis à l’université ainsi que la cassure d’avec Amiens (obligatoire, nécessaire pour la survie du jeune homme comme le fut quelques années plus tôt la fuite du village d’Hallencourt) et l’installation à Paris (avec ses difficultés, ses dés/espoirs, son travail acharné) jusqu’à la publication de En finir avec Eddie Bellegueule et ses conséquences dans la vie d’Édouard Louis. Le film n’est pas une illustration du livre qui montre aussi tous les moyens mis en œuvre par Édouard Louis pour pouvoir prendre une revanche sur son passé. Aucune phrase de Changer : méthode n’est lue dans Édouard Louis ou la Transformation comme c’est le cas pour les autres écrits autobiographiques. Les deux œuvres (celle d’Édouard Louis et celle de François Caillat) se sont-elles développées indépendamment l’une de l’autre ou, au contraire, y eut-il porosité entre elles ? Peut-être serons-nous amenés à en savoir un peu plus au fil des interviews et des articles qui paraîtront au moment ou après la sortie du film en salles le 29 novembre 2023 ?
Édouard Louis ou la transformation : un film de paroles
François Caillat, au cours de son long et fructueux parcours de cinéaste, a développé une méthode visant à « dire l’indicible. C’est ce qu’on appelle la maïeutique : faire accoucher les gens d’une parole qu’ils possèdent déjà sans le savoir. » Ce qui l’intéresse n’est pas l’interview préparée, calibrée (comme peuvent l’être celles recueillies dans les reportages ou les émissions de plateau à la télévision) mais l’émergence d’une pensée en train de s’élaborer au moment du tournage.
« Filmer la pensée en acte, voilà ce qui m’intéressait. Je voulais donner la possibilité à Édouard Louis de chercher, douter, se reprendre : penser en direct. »
François Caillat
Cette maïeutique est à l’œuvre dans les séquences tournées à Amiens où Édouard Louis ne connaît à l’avance ni les lieux précis de tournage décidés par Caillat ni le contenu de la conversation dirigée (qui disparaîtra au montage) qui l’amèneront à « penser en direct ». La relation d’amitié (une dizaine d’années) qui unit les deux hommes a peut-être facilité un peu les choses. Édouard Louis s’est senti en confiance jusqu’à parodier le début d’une chanson de Daniel Balavoine ou esquisser quelques pas de danse. Le film saisit la facilité empreinte d’une apparente douceur à dire la violence sociale et ses déterminismes ainsi que l’homophobie, ses mots et ses gestes crus.
Retours
Le film de Caillat permet un retour physique et mental d’Édouard Louis vers son enfance et son adolescence. Édouard Louis est un transfuge de classe et de lieu dont la trajectoire est le fruit non d’une volonté ou d’une liberté mais d’un échec, celui de ne pas avoir réussi à être ce que les autres voulaient qu’il soit. Fuir d’abord le village, Hallencourt, car il échouait à être « le dur » que sa famille voulait qu’il soit. Fuir aussi pour échapper à l’injure dont il est marqué au fer rouge : « pédé, tarlouze, tapette, fiotte, enculé… ». Fuir donc une double stigmatisation. Fuir ensuite Amiens pour Paris afin de vivre son homosexualité, de se réinventer dans un milieu qui n’est pas homophobe et transformer en réalité son désir de devenir intellectuel puis écrivain ; devenir ce dont la rencontre avec Didier Eribon et la lecture de son livre Retour à Reims suscita comme fantasme.
Les lieux amiénois (le lycée, l’internat, la maison de la culture…) filmés fin juillet (2020 ? 2021 ?) sont fermés, vides, désertés. La caméra Steadycam fait le point sur le visage d’Édouard Louis, suit ses mouvements et ses déambulations, tandis que son environnement reste flou comme si la ville était déréalisée voire fantomatique. Ce dispositif tend peut-être à évoquer la distance, l’écart, le changement entre le jeune homme d’Amiens (le passé) et l’Édouard Louis du tournage (le présent). La ville, les rencontres qu’il y a faites, les souvenirs ravivés (décryptés selon une grille de lecture sociologique et philosophique se référant à Pierre Bourdieu et Michel Foucault) existent par les mots qu’Édouard Louis pose sur eux et qui le ramènent à sa vie d’alors où la transformation, la mue sociale (acquérir le vocabulaire, les comportements, le capital culturel de la bourgeoisie intellectuelle de province) se fit aussi physiquement, par le corps : perte de 30 kg (l’obésité peut être un très fort marqueur social), changement vestimentaire, changement de coiffure. Plus tard, à Paris, Édouard Louis reconstruira sa dentition récréant son sourire. L’hygiène bucco-dentaire (et surtout son absence) est aussi un marqueur social de taille. La lecture de la scène inaugurale de Changer : méthode, qui relate un souvenir d’humiliation où Édouard Louis dut se prostituer pour payer le dentiste, permet peut-être de comprendre la contradiction saisissante du film qui montre un Édouard Louis arborant un sourire quasi continuel alors qu’il dit vouloir le cacher car il ne l’aime pas.
Si le retour à Amiens est possible, le retour à Hallencourt semble ne pas l’être. Le retour au village se fait différemment de celui au chef-lieu de département. Caillat filme des champs de blés, la Picardie rurale, les rues grises et vides du village. Une photo de la maison familiale délabrée, « une ruine » apparaît sur l’écran d’un studio d’enregistrement à Paris où Édouard Louis lit un passage de En finir avec Eddy Bellegueule. Pour certains, ce dispositif permet au spectateur d’imaginer la misère, pour d’autres (dont je fais partie) il ne peut qu’inciter à aller lire le livre pour être confronté à elle et entendre ses mots. Là, dans cette rencontre entre livre et film seront plus manifestes les deux langues habitées par Édouard Louis : la langue académique acquise grâce aux efforts du changement et celle du milieu social et familial subie. Là sera plus tangible sa volonté d’écrire à la fois contre Jean Genet et son esthétisation des « crachats » (dont il est victime parce qu’homosexuel) en « roses » et contre Pier Paolo Pasolini qui, selon Louis, idéalise et mythifie les classes populaires.
Édouard Louis et le théâtre
Montrer la/les transformations d’Édouard Louis, c’est s’engager pour Caillat (après le retour à Amiens et les séquences d’enregistrement à Paris) dans une troisième voie /voix : celle du théâtre. Le montage du film intercale des extraits de pièces de théâtre adaptées des livres d’Édouard Louis et montées, entre autres, par Thomas Ostermeier et Ivo Van Hove, figures majeures du théâtre contemporain dont Édouard Louis découvrit le travail grâce à son emploi d’ouvreur au théâtre de la Maison de la Culture d’Amiens (devenue depuis scène nationale). Si la lecture de ses textes par Louis lui-même en studio d’enregistrement à Paris se fait selon une diction quasi monocorde qui semble jouer sur de subtiles modulations, l’appropriation théâtrale par des acteurs permet l’extériorisation de la violence, qui de sotto voce (ou presque), peut aller jusqu’aux cris.
Le théâtre est essentiel dans la trajectoire d’Eddy Bellegueule (l’enfance gâchée) à Édouard Louis (l’adolescent puis le jeune homme devenu écrivain, traducteur, éditeur, intellectuel, acteur) qui se veut et se vit dans une transformation permanente. En effet, grâce à sa persévérance et à son engagement au club de théâtre de son collège (et ce en opposition frontale avec son père), il a pu intégrer, après une audition, la section théâtre du lycée Madeleine Michelis (résistante de la Seconde Guerre mondiale) à Amiens. Le théâtre l’a accueilli, lui qui était rejeté et stigmatisé par tous malgré tant d’efforts pour leur ressembler, être comme eux, « être un dur ». Être acteur c’est sans cesse se réinventer, endosser des rôles multiples et être dans un kaléidoscope d’hypothèses de soi. C’est donc vivre, non pas dans une identité immuable, crispée, mais être une coquille vide traversée par des possibilités mouvantes. Les choses se corsent et se compliquent quand l’auteur du livre adapté au théâtre (Édouard Louis) joue son propre rôle dans un monologue comme ce fut le cas dans Qui a tué mon père adapté et mis en scène par Thomas Ostermeier et Édouard Louis au Théâtre de la Ville -Les Abbesses en 2020. Peut-être que deux phénomènes, la catharsis et la métamorphose, se répondent l’une l’autre ou fusionnent.
Édouard Louis et l’/ les identité/s
Changer de nom a été une étape décisive dans la (re)construction d’Édouard Louis. Le changement d’état civil (qui n’est pas une mince affaire au regard de la loi) est l’inscription forte d’une métamorphose. Être Édouard et non plus Eddy c’est assumer une reformulation de soi que l’on a choisie et non plus être déterminé par les attentes et les projections des autres (du père en particulier) auxquelles on ne répond pas et ne répondra jamais. Eddy est le prénom choisi par le père qui s’abreuve de séries américaines télévisées (son seul référent culturel). Eddy est le prénom-sobriquet-diminutif des « durs », des truands violents, machistes, homophobes. Édouard est plus bourgeois, beaucoup moins populaire qu’Eddy. Louis (le choix d’un deuxième prénom comme nom de famille n’est pas anodin) efface la honte sociale que représente le patronyme Bellegueule (qui étymologiquement se rapporte à la gourmandise) dans le village : la misère, le cousin en prison… Louis est non seulement le deuxième prénom du meilleur ami d’Édouard mais aussi le prénom du personnage principal de la pièce Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce (1957-1995). Ainsi le changement d’état civil (accordé par une juge) permet la réinvention, la reformulation d’une famille non plus constituée par les liens du sang et les déterminismes sociaux mais par l’amitié c’est-à-dire la famille choisie et l’identification à un personnage de théâtre. Le changement d’état civil n’est pas une fin en soi. Il produit de l’authenticité (quelque chose qui n’a rien de naturel mais qu’on doit vouloir et qu’on doit fabriquer) tout en étant une étape décisive pour des transformations à venir. Cette obsession d’Édouard Louis pour une identité mouvante, impermanente représente peut-être le contre-poison des idéologies du repli identitaire qui verrouillent la porte à toute différence. Dans la dernière partie du documentaire de François Caillat Édouard dit même en avoir assez d’être Édouard Louis comme s’il lui était impossible d’être enfermé, comme s’il ressentait à nouveau l’étouffement d’être figé dans ce qu’il mit tant d’efforts à devenir : un homme libéré de la honte sociale, un écrivain, un intellectuel, un homosexuel libéré de la honte sexuelle. Mais Édouard Louis est-il vraiment libéré, lui qui a deux reprises dit avoir honte de la honte qu’il éprouva ?
Peut-être pour essayer de comprendre cette honte (présente) de la honte (passée) faut-il faire à nouveau le chemin vers les livres, vers les écrits d’Édouard Louis, c’est-à-dire vers les identités narratives construites au gré des récits. On peut certes rapprocher le travail d’Édouard Louis de celui d’Annie Ernaux mais il me semble qu’on peut également établir un pont avec celui d’un autre Prix Nobel également transfuge de classe, l’écrivain et dramaturge autrichien Peter Handke, le Peter Handke du Malheur indifférent(impérieuse nécessité d’écrire sur la vie et le suicide de sa mère), du Poids du monde(histoire d’une conscience en train de se construire) et de la pièce Par les villages(dernière étape du Lent retour du fils aîné au village natal et résolution d’un conflit dans la fratrie). Par ailleurs, le titre de la troisième partie de Changer : méthode, Courtes lettres pour un long adieu (explications fictives avec Elena) est la citation du titre d’un roman de Handke qui comporte quelques traces autobiographiques : La Courte lettre pour un long adieu. La lecture de l’épilogue de Changer : méthode nous confronte à un Édouard Louis, peut-être à venir.
« Est-ce que je suis condamné à toujours espérer une autre vie ? » … « Je voudrais revenir dans le temps », « Ou plutôt : j’ai détesté mon enfance et mon enfance me manque. Est-ce que c’est une chose normale ? » … « Je ne suis pas nostalgique de la pauvreté mais de la possibilité du présent. » … « Mais je sais qu’il est trop tard… J’ai continué à marcher, le bruit de mes pas sur les pavés et je me suis dit que la nuit avançait, il était l’heure de rentrer et d’aller dormir ».
Les métamorphoses affectent aussi les écrits : En finir avec Eddy Bellegeule et Qui a tué mon père, déjà adaptés au théâtre devraient faire l’objet d’une série, The End of Eddy, destinée à la plateforme de streaming Netflix et réalisée par James Ivory, géant du cinéma trois fois oscarisé (Chambre avec vue, Retour à Howards end, Les Vestiges du jour).
Édouard Louis et le politique
« Je suis convaincu que chaque personne qui parle de changement et que chaque personne qui parle de la transformation de soi rend possible la possibilité du changement pour d’autres personnes… À chaque fois qu’on dit je change, on donne la possibilité à d’autres personnes de dire Je veux changer. »
Édouard Louis
L’art, la littérature doivent être subversifs pour Édouard Louis. Ses récits autobiographiques relèvent de l’écriture de soi et témoignent de la possibilité de l’émancipation des déterminismes et de la reproduction sociale. Une des séquences du film montre un extrait de la conférence d’Édouard Louis à la Humboldt Universität à Berlin : « Changing : on self-reinvention and self-refashioning », le 27 juin 2019.
Laissons-lui la parole en guise de conclusion :
« Écrire l’histoire d’un changement devrait toujours signifier écrire l’histoire d’une résistance collective aux possibilités du changement. En fait beaucoup d’histoires de tentative de changement sont des histoires de destruction. Denise est constamment humiliée dans Au bonheur des dames de Zola, Julien Sorel meurt à la fin de Le Rouge et le Noir, Marguerite Gautier meurt à la fin de La Dame aux camélias. Une question : Est-ce que nous pourrions construire un mouvement social de personnes qui ont changé ? Est-ce que nous pourrions nous organiser nous-mêmes comme l’ont fait le mouvement LGBT ou le mouvement féministe ? »
Isabelle Grimaud
Bande annonce
Rappel
Édouard Louis ou la transformation – Réalisation François Caillat avec Édouard Louis – 2022 – Production : Tempo film, Acqua alta, Le Fresnoy – studio national des arts contemporains, Pictanovo – Distribution – Outplay films
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