L’image, l’imagé, l’imaginaire
Rafaël Resendiz-Rodriguez, corrigé Jean-François Barbier-Bouvet, 1980

L’image, l’imagé, l’imaginaire. L’usage de la diapositive à la Bpiest le résultat d’une recherche réalisée à la Bibliothèque publique d’information du Centre Georges Pompidou, à Paris.

Cette recherche a eu pour but l’analyse de la fonction et de l’usage de l’image diapositive à la Bpi. Le Service Iconographique a été la cible de cette recherche, qui nous a mené à observer, interviewer, mesurer les parcours, les stratégies de lecture et les résultats des consultations faites par les usagers.Service Iconographique a été la cible de cette recherche, qui nous a mené à observer, interviewer, mesurer les parcours, les stratégies de lecture et les résultats des consultations faites par les usagers.

L’image, et plus concrètement la diapositive, est jusqu’à présent un défi dans une grande bibliothèque publique. La Bpi et le Service Iconographique ont essayé de mettre au point plusieurs systèmes de consultation pour que la lecture de l’image soit la plus acceptable possible en fonction des intérêts des usagers. La quantité de ceux-ci a dépassé les possibilités réelles d’offrir des services dans de bonnes conditions.Service Iconographique ont essayé de mettre au point plusieurs systèmes de consultation pour que la lecture de l’image soit la plus acceptable possible en fonction des intérêts des usagers. La quantité de ceux-ci a dépassé les possibilités réelles d’offrir des services dans de bonnes conditions.

L’image à la Bpi présente un double sens : offrir de l’information au moyen de l’image, mais en même temps donner à l’extérieur une certaine image de la Bpi et du Service Iconographique.L’image à la Bpi présente un double sens : offrir de l’information au moyen de l’image, mais en même temps donner à l’extérieur une certaine image de la Bpi et du Service Iconographique.

L’imagé a aussi un double sens : la captation des objets et des sujets dans la diapositive, mais aussi la captation même des usagers dans la structure fonctionnelle de l’image de la Bpi et de ses services. Ceux-ci, en tant que tels, tentent d’offrir une image, et en conséquence un imagé à tous ceux qui se trouvent dans son entourage.L’imagé a aussi un double sens : la captation des objets et des sujets dans la diapositive, mais aussi la captation même des usagers dans la structure fonctionnelle de l’image de la Bpi et de ses services. Ceux-ci, en tant que tels, tentent d’offrir une image, et en conséquence un imagé à tous ceux qui se trouvent dans son entourage.

Dans l’imaginaire on trouve une une triple dimension :
Premièrement, les images offertes en diapositive réveillent justement l’imaginaire.
Deuxièmement l’imaginaire, tel qu’il existe chez ceux qui consultent la diapositive, avec les possibilités qu’elle a actuellement, leur fait croire qu’il existe chez ceux qui consultent la diapositive, qu’ils peuvent trouver tout ce qu’ils veulent par le seul fait que l’image existe.
Troisièmement, il y a l’imaginaire de ceux qui sont persuadés, dans et en dehors de la Bpi, que la diapositive constitue un outil indispensable dans une bibliothèque, dans ses conditions actuelles d’existence (communicationnelles, informationnelles, et pédagogiques).l’imaginaire on trouve une une triple dimension :
Premièrement, les images offertes en diapositive réveillent justement l’imaginaire.
Deuxièmement l’imaginaire, tel qu’il existe chez ceux qui consultent la diapositive, avec les possibilités qu’elle a actuellement, leur fait croire qu’il existe chez ceux qui consultent la diapositive, qu’ils peuvent trouver tout ce qu’ils veulent par le seul fait que l’image existe.
Troisièmement, il y a l’imaginaire de ceux qui sont persuadés, dans et en dehors de la Bpi, que la diapositive constitue un outil indispensable dans une bibliothèque, dans ses conditions actuelles d’existence (communicationnelles, informationnelles, et pédagogiques).

L’image, l’imaginé, l’imaginaire est donc plus qu’un titre. C’est surtout l’image que quelqu’un s’est faite en analysant l’usage de l’image, en faisant l’effort de ne pas se laisser enfermer dans le monde de l’imaginaire, et en essayant de prouver que la recherche que l’imagé de l’image n’est pas du domaine de l’imaginaire.L’image, l’imaginé, l’imaginaire est donc plus qu’un titre. C’est surtout l’image que quelqu’un s’est faite en analysant l’usage de l’image, en faisant l’effort de ne pas se laisser enfermer dans le monde de l’imaginaire, et en essayant de prouver que la recherche que l’imagé de l’image n’est pas du domaine de l’imaginaire.

  • Etude accessible sur place au service Etudes et recherche de la Bpi

Publié le 21/10/2014

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